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Affichage des articles du 2019

Tout cela me donne du vague... à l'âme

Vous rappelez-vous le délicieux "la route est droite mais la pente est forte" de Jean-Pierre Raffarin ? Oui ? Alors ce qui suit va vous rappeler l'époque bénie des raffarinades. Dans les jours qui ont suivi la "démission" de notre PDG, j'ai eu un rendez-vous téléphonique, calé de longue date et sur un tout autre sujet, avec un éminent représentant de Machin, l'un de nos deux actionnaires. Sitôt le cérémonial du "comment-allez-vous-très-bien-et-vous-même" accompli, le voilà qui me cueille d'un "alors, comment vit-on chez Chose le départ de Truc ?" Figurez-vous que, dans ma grande naïveté, je ne l'avais pas vu venir avec ses gros sabots. Ou alors c'est ma myopie, enfin j'ai de toute évidence un truc qui cloche. En retour j'énonce des banalités convenues : quelques inquiétudes et interrogations somme toute assez prévisibles en la circonstance et bla bla bla... Le voilà qui place alors le discours qu'il avait t

Tentation

Hou là là mais le temps file à toute vitesse : que se passe-t-il donc dans mon "égorgerie", comme l'a baptisée mon frère ? Et bien la semaine dernière, comme souvent, nous avons eu un message du service RH nous signalant une voiture grise (dont je tairai la marque pour ne pas faire de publicité aux luxueuses berlines allemandes) mal garée (enfin plutôt "mal garer" selon l'orthographe incertaine en vigueur chez nous) que son propriétaire serait avisé de déplacer. Ni une, ni deux, notre nouveau Président a fait une "réponse à tous" (effectif France, prestataires inclus) pour signaler que Et non la mienne est blanche et tjrs bie N garée (sic) J'ai été tenté de répondre "à tous" moi aussi qu'il valait mieux l'avoir blanche et bien garée que black et d'équerre. Mais je me suis retenu.

Hécatombe

Encore une démission aujourd'hui. C'est ruineux tous ces cadeaux de départ...

Papa DAF : un des meilleurs pères du monde animal

Peut-être vous rappelez-vous qu'après le départ du DAF en juillet, le nouveau DAF arrivé en août n'était déjà plus là en septembre. Nous avons donc depuis quelques jours un nouveau nouveau DAF (Directeur Administratif et Financier, au cas où). Ce nouveau DAF nous a été expédié par l'un de nos deux actionnaires (quand je vous dis qu'on ne change pas une équipe qui perd)... Ce qui permet au moins d'agiter son réseau et de récolter sans forcer quelques anecdotes sur les nouveaux arrivants. En voici une pour vous situer l'animal : Notre DAF est père et à l'évidence un bon père qui protège sa couvée car il a appelé la mère d'un camarade de classe de son fils à lui pour lui demander de faire renoncer son fils à elle à se présenter à l'élection des délégués de classe. En effet, le fils de la dame en était à son troisième mandat et papa DAF a donc expliqué à celle-ci que, comme il était important pour l'avenir et le CV de son propre fils qu'il soit

La princesse au petit pois existe mais c'est une petite souris

La princesse au petit pois existe et nous sommes collègues de travail. Certes, elle n'est pas réellement princesse, mais elle se plaît souvent à me rappeler qu'elle vient d'une très, très grande famille de Saint Pétersbourg, le tout en roulant les r comme l'y oblige son petit accent russe : "une trrès, trrès grrande famille"... Il pourrait être charmant cet accent mais voilà, la dame elle ne l'est pas. Car outre sa trrès grrande famille, elle a aussi un marri qui a un poste trrès imporrtant chez Machin. Et un fils. Un fils qui bien entendu fait déjà beaucoup de choses qu'aucun autrre enfant de son âge ne sait faire. C'est pas pourr me jeter des fleurrs (me dit-elle) mais je suis jeune et plutôt belle... Pour autant, dans cet océan de perfection nage la vilaine algue verte du défaut : sa majesté est un poil hypocondriaque, sans compter une certaine tendance à refouler du boulot. C'est ainsi qu'elle est plus souvent à la maison qu'au

"Oh putain !"

Dans la tradition du "grand déstockage d'automne" nous apprenons ce matin le départ de notre CEO. Faut suivre, hein, ça va BEAUCOUP plus vite chez nous qu'à Dallas pour ceux qui ont connu la série. Là, on pouvait sauter allègrement les épisodes pendant deux ou trois semaines sans perdre le fil. Chez nous, c'est impossible. Seuls les esprits vifs survivent. Et encore... Pour seule oraison funèbre, je dirais que si le succès est toujours une aventure collective, l'échec l'est bien souvent aussi. En conséquence de quoi, la situation qui l'amène à partir n'est de mon point de vue pas de son seul fait. J'en connais deux ou trois qui auraient dû le devancer et qui, curieusement, sont encore là. J'ajoute que pour le remplacer, on nous annonce DEUX personnes... C'est reconnaître de facto l'ampleur de la tâche qui était la sienne. Comme il n'est décidément jamais trop tard pour mal faire, nos deux actionnaires ont décidé que les deux

TGIF

A la question : "Qui lui propose le créneau de mardi 10h à 11h ?" Mon collègue répond : "Oui, tu peux proposer 10h-11h." Heureusement, c'est vendredi (Thanks God It's Friday).

Après les blaireaux, le croco

Je n'ai pas même pris le temps de vous présenter T., le deuxième numéro de la petite famille de blaireaux qui constitue mon équipe (et qui dit deuxième dit bien sûr qu'il y en a d'autres après), que déjà nous avons vu débarquer un crocodile dans l'open space. Vous connaissez sans nul doute la définition du crocodile : grande gueule... et petits bras. Celui-ci est arrivé tout droit de chez l'un de nos deux actionnaires pour prendre la direction de la stratégie, du marketing et de la communication. Dès notre premier "O2O" (comprenez "one to one" ou encore "entretien" comme cela se disait au précédent millénaire), il m'a demandé si je ne trouverais pas légitime de lui être rattaché avec mon équipe et m'a bien assuré qu'il allait "m'aider" alors même que je ne lui avais rien demandé. En moins de temps qu'il n'en faut au temps pour changer en Bretagne, il a effectivement élargi son périmètre à la directi

Qui a fait ça ?

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Est-ce un poète ? Est-ce un cantonnier ? M'est avis que c'est sans doute un peu les deux... Le loup me dit souvent que je marche le nez sur mes chaussures. J'y vois au moins deux avantages. Le premier est celui d'éviter les crottes de chien, qui ne manquent pas sous nos latitudes. Le second est d'avoir récemment découvert cette chose exquise et drôlatique dans la rue Grôlée :

Vive la téléportation, si possible en aller simple

Après A. je voulais vous parler de T. Certes, c'est un bond prodigieux dans l'alphabet mais pourquoi pas ? Quoi qu'il en soit, A. continue de me pomper l'air, ce qui fait que vous attendrez pour faire la connaissance de T. mais croyez-moi, vous ne serez pas déçus. La semaine dernière fut un festival dont je ne vous donne ici qu'un très bref aperçu : comme je lui expliquai qu'on ne partait pas en déplacement professionnel à 380 km de chez soi avec son véhicule personnel (et ce pour une question d'assurance) et qu'on ne pouvait pas non plus prendre une véhicule de société pour partir en WE à l'issue du déplacement professionnel en question (et ce pour une question d'abus de bien social), A. me répondit excédée "alors je n'ai plus qu'à me téléporter" ! Mais oui ! Téléporte-toi ! Quelle merveilleuse idée. Je dirais même quelle idée innovante... Téléporte-toi et surtout, SURTOUT, ne reviens jamais !

Non, décidément, il n'y a plus d'orthographe

C'est ainsi qu'hier sur un mur de Lyon j'ai pu lire "enckulé". Vraiment, tout se perd.

Je n'ai aucun sens de la nuance

J'ai une équipe de quatre personnes. Ou plutôt devrais-je dire que le service est constitué de quatre collaborateurs. Car il ne s'agit en rien d'une équipe, ni même d'un groupe. Ce sont quatre individus réunis par le caprice d'un ancien responsable. Sur les quatre, je dirais qu'il y en a trois qui n'ont rien à faire là. C'est beaucoup. Commençons par A. : 31 ans et "un ego démesuré". Du moins est-ce la description qui me revient le plus souvent à son sujet. L'équipe voisine l'a baptisée "Princesse". A. ne jure que par l'écriture inclusive et le point médian, ce qui déjà me gave à un point que je ne saurais vous dire. En effet, comme le faisait remarquer Françoise Héritier, écrire (par exemple) " grâce aux agriculteur.rice.s" c'est toujours faire passer le féminin APR È S le masculin. Sans compter que son féminisme jaloux se double curieusement d'une rejet des "vieux" (en gros, des plus de 40 a

IZNOGOUD du tout...

Certains d'entre vous le savent déjà : je voulais devenir calife à la place du calife et c'est fait depuis le premier août. Me voici devenu responsable de mon équipe. Etait-ce une bonne ou une mauvaise idée ? Et pour qui d'abord ? Pour moi, pour l'équipe en question, pour nos collègues, pour la société qui nous emploie les uns et les autres ? Difficile de répondre à ce stade mais ce qui est sûr, c'est qu'une fois de plus et avec la constance qui me caractérise en la matière, je me suis délibérément fourré dans un beau pétrin. Je pense d'ailleurs que ma "coach" (ou plus exactement mon ancienne coach) rira bien si elle lit ces lignes. Audrey, qu'en penses-tu ? Ne devrais-je pas écrire sur mon profil LinkedIn que je suis le "couteau suisse de vos situations désespérées" ? Est-ce vendeur pour trouver mon prochain poste ? Car au rythme où vont les choses, j'ignore combien de temps il me reste pour obtenir la réponse à ma question ci-

Faut-il toujours dire la vérité ?

Je vous néglige, je le sais. Pas la peine de me regarder comme ça. J'avais, au demeurant, bien l'intention de profiter de mes vacances dans le Val de Saire pour me rattraper et vous inonder de nouvelles que vous auriez pu découvrir tranquillement à la rentrée. Mais le nom même de l'endroit, charmant au demeurant, aurait dû m'alerter : Val de Saire... Car qui dit val dit creux et qui dit creux dit réseau foireux. Sans compter un WiFi paresseux. Adieu donc la possibilité de vous écrire... Impitoyable dès qu'il s'agit de ma plume (qu'il trouve, je crois, plus brillante que mon poil), le loup m'a fait remarquer que je pouvais très bien préparer mes textes pour les publier plus tard. J'ai dû lever les pattes au ciel en signe d'exaspération et manquer ainsi de peu de me casser la gueule. C'était toujours moins ridicule que de lui répondre que mon talent ne s'exprimait que dans l'instantanéité et qu'après c'était trop tard : l'

On ne m'ôtera pas de l'idée que Loiseau n'était pas le bon cheval

Manu a misé sur le mauvais cheval avec Loiseau, foi d'animal. C'est pas pour cafter, mais avec plus de 350 000 Nathalie dans ce pays, il aurait pu en choisir une moins insipide (j'en connais). Et là, PAF, il coiffait l'autre affreuse au poteau...

Tiens, un poisson rouge....

Ô toi salarié, actuel ou retraité, ne t'es-tu jamais dit que tu travaillais dans un zoo ? Un étrange univers peuplé de crocodiles, de requins, de buses sans oublier quelques ânes patentés... N'oublions pas qu'il est aussi possible de croiser au bureau de vrais animaux, même sans être vétérinaire. Ainsi ai-je côtoyé des mandarins (des vrais, à plumes) dans mon labo universitaire et aperçu quelques cousins moutons paissant tranquillement sur des sites chimiques. Dans les deux cas, il s'agissait de s'assurer, en surveillant la santé de ces bestioles, que l'air ou le sol n'étaient pas trop toxiques... J'ai vu un renard sur des pistes d'essai ou encore une salamandre dans le bassin ornant l'entrée d'un bâtiment directorial. Ma nouvelle entreprise ne fait pas exception et je commence à répertorier quelques beaux spécimens, dont un charmant poisson rouge : l'assistante du service commercial. En effet, comme je ne voulais pas l'obliger à tr

Un monde s'efface...

Un monde s'efface. C'est bien un peu gênant car c'est du mien qu'il s'agit. Tenez par exemple, un récent samedi j'entre dans une boutique à la recherche d'un article que j'avais vu quelques jours auparavant dans la vitrine et qui m'avait séduit. Ne le retrouvant pas en rayon, je m'adresse à une vendeuse et tente de le lui décrire. A cette fin, j'emploie le terme de "liquette". La jeune femme me regarde d'un oeil éteint et me demande "c'est quoi une liquette ?" Suis-je si vieux ? Ou manque-t-elle de vocabulaire ? Le lundi suivant, j'interroge trois collègues : l'un a vingt ans, le deuxième dans les trente et le dernier à peu près mon âge. Bien évidemment, seul celui-ci sait ce qu'est une liquette. Quelques jours plus tard, le nez au vent dans mon quartier, je croise un couple d'amis et lui conte mon désarroi. Eux savent ce qu'est une liquette mais testent leurs enfants. La seconde, qui est en

Richard et Anthony entendent siffler les trains

Se lever plus tôt que d'ordinaire pour prendre un TGV vers la capitale peut aussi avoir ses avantages. Par exemple, cela permet d'apprendre qu'aux abords de la gare Saint Lazare, l'entretien de talus trop pentus pour que des humains ordinaires s'en occupent aisément a été confié à deux moutons d'Ouessant qui eux ne se laissent pas déstabiliser par quarante-cinq petits degrés. L'association GreenSheep (qui porte bien mal son nom, soit dit en passant, car les deux compères sont noirs -comme moi- et non verts) nous indique qu'un mouton tout seul entretien mille mètres carrés mais s'ennuie. Il faut dont obligatoirement lui adjoindre un compagnon, ce qui signifie avoir deux mille mètres carrés à tondre sinon l'ennui fait place à la faim. Heureusement, deux mille mètres carrés c'est à un brin d'herbe près la superficie de la zone où ont été installés mes deux cousins, fort opportunément baptisés Richard et Anthony étant donnée leur nouvelle a

Repose en paix ô ma volaille adorée

Il arrive parfois le samedi qu'au retour du marché, je croise un corbillard. Garé devant l'église, il me rappelle sobrement que je ne suis que poussière... Je ne serais pas étonné qu'il soit parent de la pendule au salon qui dit "je vous attends". Ce matin, en lieu et place du massif fourgon noir, je me trouvai museau à capot avec un petit utilitaire blanc tout pimpant. Posé sur la planche de bord un écriteau indiquait "maison Machin volailles de Bresse". Aurais-je dû entrer dans l'édifice, à la recherche d'une belle poularde demi-deuil éplorée à qui j'aurais pu apporter réconfort et chaleur... dans une belle cocotte en fonte ? La fréquentation des Halles Bocuse, où je croise régulièrement la photo de "la mère Filloux, de son vrai nom Françoise Fayolle, préparant ses célèbres poulardes demi-deuil", aurait-elle sur moi quelque néfaste influence ?

Si c'est facile... alors je DOIS y arriver moi aussi !

La toute première fois que j'ai ouvert le désormais célèbre "Powerpoint" c'était en 1996. Ouaich, je sais, "je vous parle d'un temps..." Je devais soutenir ma thèse et j'avais décidé d'utiliser cet outil alors novateur pour faire ma présentation, plutôt que le déjà classique et si "old school" Word. J'y avais passé une heure ou deux puis l'avais refermé, convaincu que ce tuc abominable était trop compliqué pour moi. Quelques jours plus tard, j'en discutai avec une amie qui me vanta ses mérites : "Powerpoint c'est génial et c'est super facile"... Je me retrouvai comme un con, n'osant pas lui dire que je m'y étais cassé les dents. Du coup, je m'y remis, j'en bavai une demi-journée et je fis au final ma soutenance avec Powerpoint. A cette époque cependant, on imprimait son fichier Powerpoint sur des "transparents", les vieux qui me lisent s'en souviennent peut-être. Et bien voi

Considérations médicales / 3

Alors voilà, cela fait bientôt trois ans que je me bats contre une douleur à l'épaule droite. J'ai d'abord cru que les vacances d'été allaient tout arranger, mais la rentrée de septembre m'a prouvé le contraire. J'ai commencé à regarder mon bureau et ma souris d'un oeil soupçonneux. J'ai mis des mois à convaincre la médecine du travail de se pencher sur mon cas : bien m'en a pris car l'infirmière a conclu sobrement que ce n'était pas mon bureau qui était trop haut comme je le croyais, mais tout simplement mes épaules qui étaient trop basses... J'ai consulté ma généraliste. Qui m'a envoyé chez le kiné. Lequel m'a fait un mal de chien (de berger) avec des ultrasons. Je suis retourné chez la généraliste qui m'a envoyée chez une rhumatologue. Laquelle n'a pas jugé opportun de m'examiner car les IRM sont là désormais pour nous dire ce qui est. Après l'IRM qui a montré un soupçon d'arthrose et d'oedème au niveau

Cherche à Gendarmerie sous Mule

Récemment je farfouillais sur notre "espace réseau", à la recherche de devis inspirants puisque mon chef m'en avait confié un à préparer. Tout est censé être classé dans le répertoire "Clients" lui-même subdivisé en "A", "B", "C" et ainsi de suite jusqu'à "Z". Peut-être la présence de "Mexique" juste après "M" aurait-elle dû me mettre la puce à l'oreille sur le fait qu'au travail comme dans la vie, tout est relatif. Mais enfin, qui voudrait d'un mouton à puces ? Je m'arrêtai donc au M, dans lequel je trouvai Mxxxx dont l'activité s'apparente vaguement à celle du client dont on m'avait chargé et que je pouvais donc supposer utile. Tout à ma trouvaille, je fus stupéfait en ouvrant le devis de constater qu'il concernait en fait Cxxxxxx ! Le premier mouvement de découragement passé, cela me rappela une lointaine mais fameuse (du moins dans ma famille) réplique maternell

Comprenne qui pourra

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Je me demande bien ce que ces chaussures font là-haut. Et comment elles y sont arrivées.

L'horlogerie suisse n'est plus ce qu'elle était

Je me rappelle être allé à Genève il y a quelques années et avoir été frappé par la monotonie de ses rues : à une banque succédait un magasin de luxe puis une banque et ainsi de suite. Las ! voyez comme en peu d'espace, Amis, la Suisse a dessus la place, Las, las ses richesses laissé choir ! (J'étais tombé sur Ronsard à l'oral de Français au cas où vous ne l'auriez pas deviné.) Car il faut bien avouer que l'horlogerie suisse n'est apparemment plus du tout ce qu'elle était. Un client (que dis-je un client, il s'agit plutôt à cette heure d'un prospect) à qui j'ai signalé comme cela par pure gentillesse, un congrès de deux jours sur un sujet technique qui l'intéresse me répond que le tarif d'inscription est prohibitif et cherche à savoir si je n'aurais pas des invitations gratuites à lui fournir. Sachant que le tarif en question est de 790 € pour deux jours de conférence donc, plus les pauses, les déjeuners, le "dîner de gala&

Considérations médicales / 2

Alors voilà, il paraît que j'ai une bursite sous-acromiale. Disons une inflammation de la bourse... Peut-être que je dépense trop ?

Considérations médicales / 1

Alors voilà : je me demande bien pourquoi il faut préciser sa situation maritale pour passer un IRM de l'épaule.

Citation

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Il y a plusieurs sens à citation mais celui qui m'intéresse aujourd'hui est le suivant : "Action de citer, de rapporter les mots ou les phrases de quelqu'un ; paroles, passage empruntés à un auteur ou à quelqu'un qui fait autorité." C'est avec ce sens en tête que je me suis figé tout ébaubi devant ceci, lu sur une vitrine du centre ville : En général on nous sert du Churchill, du Gandhi, du Steve Jobs -à qui on fait dire à peur près tout et n'importe quoi- ou pourquoi pas du Lady Gaga. Mais là, je crois que nos amis communicants ont remporté haut la main le Premier Prix de Fumisterie avec cette magnifiquement plate citation... d'un inconnu. Ou alors désormais ce sont les inconnus qui font autorité ? Ce n'est pas impossible à l'ère de la télé-réalité. Voici en tous cas qui promet une délectable année 2019 à tous ceux qui, comme moi, font leur miel de ce genre d'âneries. Alors, meilleurs vœux à toutes et à tous !