La vermine sous les perruques poudrées
"C'est beau mais ce n'est pas gai" ai-je écrit récemment à propos du "siège" de mon entreprise où l'on m'a fait l'insigne honneur de me rapatrier à l'insu de mon plein gré. Pour parler vrai, c'est Versailles : il y a de la vermine sous les perruques poudrées. Je passe sur les courtisans des temps modernes, entassés en open space mais ravis d'aller souhaiter son anniversaire au Roi Soleil. Car aujourd'hui, je pensais plutôt vous entretenir des "lieux d'aisance". Si les couloirs sont parsemés de gens bien mis (les dames de préférence habillées court et juchées sur de hauts talons), pour autant les splendides WC rouges et gris ressemblent, en termes de propreté, à des toilettes d'aires d'autoroute. Je me demandais les premiers jours pourquoi il y avait des femmes de ménage toute la journée et non simplement le soir comme j'en avais auparavant l'habitude. Je suppose maintenant que c'est parce que