La splendeur de l'herbe
Voilà un titre alléchant pour un mouton.
De fait, le concert de Pink Martini (dont le dernier album s'appelle splendor in the grass) méritait bien que je gambade jusqu'à la rue Garibaldi, en dépit d'une humeur chagrine.
Invité par un mouton de ma tribu lyonnaise à "écouter l'herbe pousser" dans le béton précontraint de l'Auditorium, je suis rentré en chantonnant :
J'ai perdu mon nez
devant le Bon Marché,
je cherche ça et là
je ne l'ai pas trouvé,
dis-moi... où est mon nez?
Reviens chéri vers moi,
mon nez n'importe pas
c'est toi qui peut me compléter
De fait, le concert de Pink Martini (dont le dernier album s'appelle splendor in the grass) méritait bien que je gambade jusqu'à la rue Garibaldi, en dépit d'une humeur chagrine.
Invité par un mouton de ma tribu lyonnaise à "écouter l'herbe pousser" dans le béton précontraint de l'Auditorium, je suis rentré en chantonnant :
J'ai perdu mon nez
devant le Bon Marché,
je cherche ça et là
je ne l'ai pas trouvé,
dis-moi... où est mon nez?
Reviens chéri vers moi,
mon nez n'importe pas
c'est toi qui peut me compléter
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