Petits bonheurs
Il faut savoir profiter des petits bonheurs. Les grands sont rares et de toutes façons tout aussi éphémères que les autres.
C'est ainsi qu'hier matin j'ai entendu à la radio une très vieille chanson dans une nouvelle version pleine de charme.
La chanson, c'est "J'attendrai", créée par Rina Ketty (en 1938 d'après Wikipedia). Qui connaît encore Rina Ketty à part ma mère qui m'avait fait connaître cet air il y a... pfff, des lustres ? Et bien manifestement il y a aussi Benjamin Biolay et Camélia Jordana qui l'ont donc reprise en duo. J'aime beaucoup leur version et sans doute n'y aurais-je pas prêté la même attention si l'originale ne faisait pas partie de mes souvenirs d'agneau.
Comme un bonheur n'arrive jamais seul (s'il est petit, il est plus prudent qu'il soit accompagné), ce matin la même radio avait invité Costa-Gavras pour la sortie d'un coffret de ses neuf premiers films. Sûrement un bijou ce coffret ! Quoi qu'il en soit, j'ai beaucoup aimé la conclusion de son interview. Il a parlé de l'Europe. Regrettant combien cette merveilleuse idée était aujourd'hui galvaudée et maltraitée. Je me suis soudain senti intelligent et clairvoyant parce que moi aussi, comme ce grand monsieur, je me demande bien ce que nous autres Européens sommes en train de faire de l'Europe. En conséquence de quoi, je pense qu'elle pèsera lourd dans mon choix pour les prochaines présidentielles.
C'est ainsi qu'hier matin j'ai entendu à la radio une très vieille chanson dans une nouvelle version pleine de charme.
La chanson, c'est "J'attendrai", créée par Rina Ketty (en 1938 d'après Wikipedia). Qui connaît encore Rina Ketty à part ma mère qui m'avait fait connaître cet air il y a... pfff, des lustres ? Et bien manifestement il y a aussi Benjamin Biolay et Camélia Jordana qui l'ont donc reprise en duo. J'aime beaucoup leur version et sans doute n'y aurais-je pas prêté la même attention si l'originale ne faisait pas partie de mes souvenirs d'agneau.
Comme un bonheur n'arrive jamais seul (s'il est petit, il est plus prudent qu'il soit accompagné), ce matin la même radio avait invité Costa-Gavras pour la sortie d'un coffret de ses neuf premiers films. Sûrement un bijou ce coffret ! Quoi qu'il en soit, j'ai beaucoup aimé la conclusion de son interview. Il a parlé de l'Europe. Regrettant combien cette merveilleuse idée était aujourd'hui galvaudée et maltraitée. Je me suis soudain senti intelligent et clairvoyant parce que moi aussi, comme ce grand monsieur, je me demande bien ce que nous autres Européens sommes en train de faire de l'Europe. En conséquence de quoi, je pense qu'elle pèsera lourd dans mon choix pour les prochaines présidentielles.
Je connaissais Tina Ketty.....
RépondreSupprimerBen oui mais je te rappelle qu'un jour lointain on t'avait prise pour ma mère, donc c'est logique ! Bises
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