Entretiens de recrutement
Encore me direz-vous ! Ouaich... Six.
Six entretiens individuels et un entretien de groupe. Hier soir sur France 2. Vous n'avez pas vu ? Pourtant, cela y ressemblait fort.
D'abord se présenter en une minute. Dans mes club de chercheurs d'emploi, on nous en accorde trois.
Puis répondre à des questions qui ressemblent à celles que j'affronte depuis deux ans : Comment comptez-vous faire ceci ou cela ? Qu'avez-vous de plus que les autres candidats ? Etc.
Puis le débat, que j'assimilerais à un entretien de groupe. Comment les candidats se positionnent-ils entre eux ? Qui prend le leadership ? Qui est calme ? Qui s'énerve ou se montre agressif ? Qui est trop effacé ?
Il ne manquait que l'assessment center : imaginez Pujadas poser devant chacun pendant la phase individuelle une corbeille contenant quelques documents. "La situation est grave. Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Trifouillis les Oies vient d'exploser". Ou : "l'Allemagne a décidé de sortir de la zone euro". Dans tous les cas : vous avez cinq minutes pour nous dire ce que vous allez faire. Amis candidats à la primaire socialiste, sachez que les éléments nécessaires à la définition de votre réponse se trouvent généralement dans les derniers documents de la pile. Le jeu consiste donc à survoler rapidement l'ensemble pour identifier et analyser les plus intéressants avant la fin du délai imparti.
Permettez que je les aide un peu en leur donnant cette astuce car tous n'ont pas été à la hauteur. J'en connais que la DRH aurait recalé dès la fin de l'émission... Et j'en suis fort marri car parmi eux, se trouve celui pour qui je comptais aller voter et dont l'agressivité cachait mal la nervosité.
Quant à Madame Royal, elle a décidément du mal avec les liaisons à moins qu'elle ne confonde réellement le futur et le conditionnel ("quand je serai z'élue"). Je me demande s'il faut aller jusqu'à en conclure qu'elle n'y croit plus réellement ?
Six entretiens individuels et un entretien de groupe. Hier soir sur France 2. Vous n'avez pas vu ? Pourtant, cela y ressemblait fort.
D'abord se présenter en une minute. Dans mes club de chercheurs d'emploi, on nous en accorde trois.
Puis répondre à des questions qui ressemblent à celles que j'affronte depuis deux ans : Comment comptez-vous faire ceci ou cela ? Qu'avez-vous de plus que les autres candidats ? Etc.
Puis le débat, que j'assimilerais à un entretien de groupe. Comment les candidats se positionnent-ils entre eux ? Qui prend le leadership ? Qui est calme ? Qui s'énerve ou se montre agressif ? Qui est trop effacé ?
Il ne manquait que l'assessment center : imaginez Pujadas poser devant chacun pendant la phase individuelle une corbeille contenant quelques documents. "La situation est grave. Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Trifouillis les Oies vient d'exploser". Ou : "l'Allemagne a décidé de sortir de la zone euro". Dans tous les cas : vous avez cinq minutes pour nous dire ce que vous allez faire. Amis candidats à la primaire socialiste, sachez que les éléments nécessaires à la définition de votre réponse se trouvent généralement dans les derniers documents de la pile. Le jeu consiste donc à survoler rapidement l'ensemble pour identifier et analyser les plus intéressants avant la fin du délai imparti.
Permettez que je les aide un peu en leur donnant cette astuce car tous n'ont pas été à la hauteur. J'en connais que la DRH aurait recalé dès la fin de l'émission... Et j'en suis fort marri car parmi eux, se trouve celui pour qui je comptais aller voter et dont l'agressivité cachait mal la nervosité.
Quant à Madame Royal, elle a décidément du mal avec les liaisons à moins qu'elle ne confonde réellement le futur et le conditionnel ("quand je serai z'élue"). Je me demande s'il faut aller jusqu'à en conclure qu'elle n'y croit plus réellement ?
Trop rigolo !
RépondreSupprimerNathalie B.