Cherchez le blé, l'avoine, l'oseille, le beurre, le lard, les radis...
Le loup a eu une réunion de travail avec un pôle de compétitivité. Bon, évidemment, les temps sont durs... le loup doit comprendre : le pôle n'a pas de sous. Ou presque. Il faudrait que le loup fasse une prestation gratuite. Ou presque.
Comme disait un jour (quand j'avais un vrai job, en Auvergne) une collègue américaine avec un accent délicieux "je suis confondue". Je suis confondu devant ces mésaventures lupines qui pourraient se résumer, de la part du prospect, quel qu'il soit par : "c'est génial ce que vous faites, mais rassurez-moi, c'est gratuit bien sûr ?"
J'ai donc demandé au loup où pouvait bien être le blé ? C'est vrai ça, QUI a l'oseille ? Qui mange notre avoine, nous pique nos radis (et le beurre avec car c'est meilleur) ?
Le loup ne savait quoi me répondre.
Mais la nuit porte conseil : le lendemain matin, il s'est souvenu que dans les prochains jours il est invité à célébrer l'anniversaire de ce même pôle. Oh ce sera très simple, vraiment : à peine 300 invités dans un espace de réception de prestige en bordure de Saône.
Maintenant je sais où passent l'oseille, le beurre, les radis et tout le reste : dans les petits fours.
J'ai proposé au loup de devenir traiteur.
Comme disait un jour (quand j'avais un vrai job, en Auvergne) une collègue américaine avec un accent délicieux "je suis confondue". Je suis confondu devant ces mésaventures lupines qui pourraient se résumer, de la part du prospect, quel qu'il soit par : "c'est génial ce que vous faites, mais rassurez-moi, c'est gratuit bien sûr ?"
J'ai donc demandé au loup où pouvait bien être le blé ? C'est vrai ça, QUI a l'oseille ? Qui mange notre avoine, nous pique nos radis (et le beurre avec car c'est meilleur) ?
Le loup ne savait quoi me répondre.
Mais la nuit porte conseil : le lendemain matin, il s'est souvenu que dans les prochains jours il est invité à célébrer l'anniversaire de ce même pôle. Oh ce sera très simple, vraiment : à peine 300 invités dans un espace de réception de prestige en bordure de Saône.
Maintenant je sais où passent l'oseille, le beurre, les radis et tout le reste : dans les petits fours.
J'ai proposé au loup de devenir traiteur.
J avais lu quelque part "le gens adorent ton travail ... jusqu a ce qu ils comprennent que ce n est pas gratuit".
RépondreSupprimerLe traiteur est une bonne idée, mais faudra s organiser pour les meringues :)