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La solution à l'interdiction du glyphosate ? C'est moi !

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Je vous en avais déjà parlé il y a longtemps dans ce blog mais j'insiste : mes cousins et moi-même apportons une vraie réponse à l'interdiction des produits phytosanitaires. L'éco-pâturage, c'est l'avenir du périphérique (et pas que) !

Chapeau l'artiste

"J'aimerais pour savoir via des tests si le risque d'électrisation lié à la porosité des pièces est réellement ou non, et si oui comment réduire la porosité via des paramètres process/matière ou faire des postes traitement permettant de lever le risque." C'est notre cher Tutoyeur qui m'écrit ainsi. Oh, ne riez pas. D'abord ce serait vous moquer de moi et négliger ma souffrance quotidienne à lire pareilles inepties. Ensuite ce serait sous-estimer l'animal, qui fera carrière plus vite et mieux que moi. La preuve, il passe déjà au journal de 20h.

Les merdes volantes

Encore un record battu dans notre immeuble. Ici, on défie les lois de la gravitation. Marie Curie, Georges Charpak et tous les autres, préparez mon fauteuil : je rejoindrai bientôt le club très sélect des Prix Nobel de Physique pour avoir découvert des merdes volantes... En effet dimanche dernier, j'ai trouvé des crottes sur l'appui de l'une de nos fenêtres. Je rappelle à toutes fins utiles que nous habitons au premier étage. Une fiente de pigeon ? Certes non ! Un caca de chat ? Difficile d'imaginer comment un chat aurait pu sauter depuis la cour sur l'appui, sans compter qu'ils préfèrent en général le gravier ou la terre comme "petit coin" à une surface en aluminium plate et lisse. Qu'en déduire ? Je ne vois que deux possibilités : soit la chose venait des étages supérieurs, soit nous défions les lois de la gravitation. J'ai affiché un mot bien poli dans le hall, signifiant la présence "d'excréments" (sans autre précision) et...

"Les Françaises ont péché au tir"

Les JO d'hiver sont ouverts ! J'entends à la radio qu'en biathlon "les Françaises ont péché au tir". Mais à l'oreille, difficile de faire la différence avec "les Françaises ont pêché au tir", ce qui me permet, en bon mouton noir, de souligner que si elles ne font pas la différence entre une canne à pêche et une carabine, il ne faut pas s'étonner qu'elles ne soient pas sur le podium. (Je précise quand même au passage que je considère le biathlon comme une très belle discipline. Le loup n'en dirait pas autant du curling par exemple, dont il s'interroge sans fin sur l'intérêt !)

Les Nollandais m'emmerdent

Les Nollandais avaient déjà inventé la Mona Lisa, une pomme de terre franchement pas terrible. Mais vue la réputation de leur cuisine, qui s'en étonne ? Non content de ce premier méfait, ils pratiquent "à titre expérimental" la pêche électrique depuis 2007, alors qu'elle est interdite par l'UE depuis 1998, en étant bien sûr financés par l'Europe. Ils veulent faire voter aujourd'hui un amendement au parlement européen autorisant cette pêche dans tous les pays de l'Union. Rappelons qu'il s'agit d'envoyer des décharges dans le sédiment afin d'en faire sortir les poissons plats qui y sont enfouis pour les capturer plus facilement. Je le dis haut et fort : les Nollandais m'emmerdent. Tiens, d'ailleurs, je propose qu'à "titre expérimental" on électrocute, pour les faire sortir de leurs bagnoles et autres caravanes, tous ceux qui engorgent Fourvière de mai à octobre à toute heure du jour au prétexte d'aller passer l...

A qui profite le contexte ?

"Malgré sa capacité d’innovation (une vingtaine de brevets déposés), la société Trucmuche, récompensée du Prix de l’Agrobiobase en 2015, n’aura donc jamais trouvé le bon modèle économique pour subsister dans un contexte plutôt favorable à l’essor de la chimie du végétal selon des études publiées en novembre 2017 par le cabinet Xerchouette ainsi que par Bidule en collaboration avec Machin." Comme je ne suis pas aujourd'hui d'humeur à balancer, je ne vous donne pas vraiment les noms. Peut-être le devrais-je, pour vous dire plus clairement que les Xerchouette et autres instituts qui ont pignon sur rue et notent un "contexte favorable à l'essor de la chimie du végétal" me font bien rire. Ce n'est pas eux qui essaient d'en vendre, de la chimie du végétal. Ni encore moins d'en acheter pour en placer dans leurs produits. Non, eux ne vendent -chers- que des chiffres repompés dans l'étude du voisin ou dans celle de l'année précédente et comme...

De Sapiens à Sapions

En cette période de définition des objectifs, ma collègue anthropologue et moi-même, inspirées par le nom de son lapin domestique ("Sapiens") d'une part et par le comportement de notre corporate hacker roupilleur d'autre part, avons le plaisir de vous annoncer le titre de notre prochaine étude en commun : De Sapiens à Sapions : comment l'industrie pousse à la dégénérescence de l'espèce. Etude de cas du corporate hacking. Franchement, ça "envoie du bois", non ?